La naissance de deux petits bout de dragonneaux. (Libre, mais Zira doit venir)

Une dragonne tournait en rond, comme un lion dans une cage. Sa couvée était là, à deux pas d'elle. La dragonnelle les avaient pondu quelques jours plus tôt et attendait avec une impatience non dissimullé l'arrivé de ses regetons. Elle fini par se coucher près de ses oeufs et commança sa berceuse :

- Approche donc et découvre, petit dragonnet,
Les septs ennemis que tu dois redouter.
Prends garde à L'Orgueil qui assombrit l'esprit
Et te leurre sur la vrai taille de ton ennemi.
N'Envie pas aux dragons pouvoir, richesses et biens
Car intrigues et complots seront la fin des tiens.
Même percé de lances, évite la Colère
Car elle tuera la russe, qu'il te faudra entière.
Un dragon doit dormir mais, toi, fuis la Paresse
Nos assassins profitent des longues années de sieste.
"Quel mal à l'Avarice?" dira le dragon sot.
Les voleurs de trésors voleront aussi sa peau.
Tu connaîtras la faim et devras l'apaiser
Mais Gourmandise rend gras, empêche de décoller.
Dragonne, joyaux, gloire, ou or,
Luxure a conduit bien des dragons à la mort.
Apprends par coeur ceci, mon précieux dragonnet,
Tu seras sûr de vivre encore de longues années.

La chanson fini, Crime posa sa tête sur le sol et dormi un peu.

(J'aime bien la chanson. Juste une question. ça parle un bébé qui sort de son oeuf?)

Dans l'une des coquilles, un dragonnet bougeait et essayait désespérément de sortit de sa coquille quelques minutes plus tard. Elle avait bot donner des coups, sa coquille ne voulait pas s'ouvrir. La coquille bougea dans tout le sens. Après quelques coups plus puissants, la coquille céda enfin. La dragonnet, puisque c'était une femelle, Pût enfin respirer un peu d'aire. La petite avait envie encore plus d'aire et avec ses petite pattes, ouvrit d'avantage la coquille. La petite réussi à sortir de son œuf, mais tomba à côté et se fit un peu mal à la tête. Elle regarda au tour d'elle et vit une dragonne plus grande qu'elle, endormit. Elle s'approcha doucement de la dragonne et posa sa petite patte sur le museau de la dragonne. La petite avait les yeux verts et avait des écailles noires. Elle avait deux petites cornes sur la tête et plusieurs sur son dos, elle en avait aussi sur ses pattes. Contre son dos, elle avait de toutes petites ailes noires et Sa toute petite queue avait une étrange forme à la fin. La petite tomba en essayant de monter sur le museau de la dragonne, qui avait reçu la petite queue de la petite vers un de ses yeux.

Son reveil fut long mais il ouvrit finalement les yeux. Confortablement installé dans l'obscurité, Souffre avait somnolé et rêvé jusqu'à ce que des craquements secs le réveillent. Il haït soudainement la cellule dans laquelle il flottait depuis si longtemps. Il déploya intinctivement son long cou en donnant un coup de menton vers le haut et sentit l'excroissance sur son nez cogner l'intérieur de son dur cocon. Trois coup bref et la coquille céda en même tant que la petite corne. Son museau était maintenant ensanglé et elle lui fit un peu mal.
Le dragonnet goûta l'air pour la première fois. Comparé à la douceur de son oeuf, il lui sembla froid et sec. Son étrangeté le laissa tout tremblant. Il voulait tant revenir à cette chaleur qu'était sa coquille beige.
Il apercevait des silhouettes gigantesque, des couleurs estrompées et même une lueur aveuglante. Il entendait et sentait de nouvelle choses, des échos étouffés et des saveurs raffinées, ternes parfois. Pourquoi avait-il dû casser son oeuf? La vie était vraiment dur avec lui. Il n'avait pourtant rien fait.. A par-ci naître était un crime...
La petite boule d'écailles utilisa son nez pour élargir le trou de son ancienne demeur et, quand se fut fait, s'ébroua frénetiquement. Il sortit son museau et ouvrit la geule, il prit une vrai inspiration. Les longs poumons qui s'étiraient sur quasiment toute la longueur de son dos se remplirent d'air. La saveur de cet élément, la sensation toute neuve que l'oxygène se mêlant dans son sang l'exitait. Il releva la tête et poussa un petit glapissement.
Des grattements et un son encore plus fort, grave et rythmé, éveillèrent sa curiosité. Déterminé, il tourna son petit corps.

Une présence, blanche et immence, était enroulé autour de lui. Inconnue et pourtant si famillière. Le petit dragonnet s'approcha d'elle en tombant un peu après être sortie de sa coquille. Il vu un peu mieux et distingua une petite chose sur le museau de la dragonnelle. Elle ressemblait à une ombre et était comme telle pour Souffre qui venait de la pousser tranquillement de son perchoir pour prendre sa place. Le dragonnet poussa un nouveau petit cris pour éveillé sa mère.

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Crime sentit des petits grattements sur son large museau. Elle ouvrit un oeil et fit deux petits dragonnets près d'elle. Un sourir se forma et la dragonnelle passa sa langue sur les deux petits. Elle était heureuse. Le troisième oeuf qu'elle avait pondu avait été prit par la reine Shadow et la dragonne en avait pleuré toute les larmes de son coeur. Maintenant, elle pleurait de joie. Ses enfants venaient de naîtres en grands jour.

- Bonjours mes petits. Murmura-t-elle tendrement sous les yeux ébailles du petit mâle.

La petite regarda la dragonne lever la tête et les lécher. La petite n'avait pas vu son frère éclore mais celui-ci l'avait bousculé pour passer et s'était pour ça que la petite était tombée avant. Elle lui lança un regard noir puis lécha le bout du museau de sa mère. Elle l'aimait déjà la grande dragonne blanche. Elle s'assit en sourit.

*Es-tu maman?*

Elle ne savait pas s’il fallait poser la question mais elle avait envie de savoir. Elle se releva et commença à tourner en rond mais se prit la patte au bout du troisième tour de rond. Elle tomba par terre et elle commença à couiner sa mère pour avoir de l'affection.

Beaucoup plus loin, dans une salle du palais, il y avait un œuf de dragon, un autre enfant de Crime, un œuf de la couleur du granit. Pas très beau par rapport aux autres œufs de dragon. Il était d'un gris uniforme et terne, sans reflet. C'était comme si un sculpteur avait taillé une copie d'œuf de dragon dans une pierre commune et grise. Mais ce n'était pas une pierre, comme je l'ai déjà dit plus haut, c'était un œuf de dragon. À l'intérieur de la coquille sommeillait un dragonneau. Bien évidement, il était de la même couleur que sa coquille. Il aurait dû éclore. Le petit mâle sentit ses frères et sœurs naître. Déjà capable de faire de la télépathie (à condition qu'on ne s'oppose pas même très peu à sa volonté) il entendit sa sœur et sa mère converser ensemble et les trouva pathétique. Alors qu'il n'avait pas fini de se développer, on l'avait soustrait à sa mère. Sans pour autant quiconque s'en rende compte, quelque chose ne s'était pas créé en lui : l'affection. Pourtant il en éprouvera. Mais là c'est un futur pour l'instant lointain. Revenons au présent !

Dans son œuf, le bébé dragon ouvrit un œil. Il changea de position, faisant légèrement bouger son œuf. Lui il attendait son tour. En attendant il réfléchissait à un prénom. Dés qu'il trouverait son dragonnier il lui dirait comment il s'appelle. "Mmh… Il faut que sa sonne comme quelque chose de dure. Il faut que ce soit court. Il faut que je choisisse bien chaque lettre, chaque son…" Voilà ce qu'il pensait depuis qu'il était capable de penser de façon cohérente. Sur un coup de tête il envoya un message à sa mère, son frère et sa sœur : *Vous êtes pathétiques ! Heureusement que je ne suis pas resté avec vous… quel ennuie ! Oh, regarde maman adoré, il y a ton bébé tout mignon et tout tremblant qui est tombé… Oh, mais c'est qu'elle réclame de l'amour la misérable petite boule d'écaille !* Son ton mentale était moqueur et mauvais. On devinait aisément comment il serait plus tard… un être sans cœur, ou presque sans.

Un lointain souvenir germa dans la tête de Souffre. C'était étrange est agréable à la fois. La chanson de sa mère venait de rapparetre dans son espris et il se l'essait balancer par celle-ci. Cette musique serait la seul qu'il entendra de toute sa vie et il la mémorisa pour ne plus l'oublier. C'était enivrant. calme et prèsque parfait... Malheureusement, son frère était venu le déranger en lui envoyant un message télépathique. Les mots du dragonnet noir étaient les pires que le cuivré n'ai jamais entendu. C'était comme-ci on l'avait tuer de l'interieur. Souffre avait l'impression d'être un livre ouvert, de n'être rien. Son futur voile avançait telle un serpent en chasse. Il prit un grande inspiration et fit un rugissement mental à son frère qui n'était pas sorti de son oeuf comme lui. Si le dragonnet noir était venu au monde près d'eux, aurait-il été gentil? Aurait-il était son ami? Non... Il ne serait qu'un frère, rien de plus rien de moins. Souffre n'aurait même pas partagé sa par de viande. C'était un mâle et, en mâle qui se respecté, devait défier son frère pour savoir son rand dans la pouponnière. Sa soeur serait la plus basse. Telle était les lois des dragons. Mais, pour le moment, le cuivré ne pensait cas l'importain qui l'avait dérangé.

"-Heureusement que tu n'es pas né avec nous, frère, car je t'aurais fait la peau jusque ce tu me demande de te tuer. Tu as beau parler, tu n'es même pas né, alors crêve en silence. "

Le ton que Souffre avait utilisé pour la première fois était sadique, méchant, vicieux, prèsque machiavélique et il y avait même de la pitié. Il ria. Un rire à glacer le sang d'un barbare. Un rire noir qui appuiait ses derniers mots telle un chien enragé. Un silence suivit le rire et Souffre fit un sourir plus que satisfait. Il rompit le contacte avec son frère pour chercher la viande d'on il allait se nourrire. Son dos dépourvu d'ailes frémit un instant pour que Souffre face sécher les quelques goutelettes qui restaient sur ses écailles.

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La voix de sa fille fit faire un Prrum* d'amour pour elle. Crime était heureuse, mais son bonheur ne dura qu'un instant car son fils perdu vint les insulter. La dragonne coupa tous contacte avec son troisème enfant. Il avait été trop tot séparé de sa mère et voilà le resultat....
La mère s'avança vers la petite dragonnelle noir qu'elle appellerait Zira. Elle le releva et lui passa son museau sur le ventre de la petite.

"- Tu seras Zira et ton frère Souffre. "

Crime rouvrie sa télépathie au troisème pour lui dire uniquement son nom.

"- Bonne chance, Eirok. dit-elle avec tendresse avant de couper définitivement le contacte avec son fils...

(Oups, il fallait que je réponde ? Oo Argrh, ça me donne envie de jouer Eirok ! ><)

Eirok… oui ! C'était tout à fait ce qu'il recherchait. Son œuf s'agita légèrement lorsqu'il bougea pour tortiller joyeusement dans son œuf. Sa mère avait coupé la communication du coup il ne pouvait pas la remercier. Il remarqua qu'il pouvait toujours parler avec Zira et cet imbécile de Souffre. Zira l'amusait presque.

*Zira ? Tu peux dire à mère que je la remercie pour le prénom ? Il est parfait !*

Il se remit en position fœtale et ferma les yeux, replongeant dans le sommeil.

(Au fait, maintenant que j'y pense, ça me fait chier que Shadow meurt car elle devait envoyer un assassin aux trousses d'Artémis mais personne ne veut jouer mes perso pré créé ! T_T En plus Leia elle post plus…)

(pas envie de changer de perso... En faite, Shadow ne va pas encore mourire 8D. Elle va se retrouver en prison et elle pourra envoyer le message si tu veux. ^^ Sinon, je pense lui envoyer un MP pour voir si elle vient toujour.)

Un petit bruit et une quelque chose poussa tranquillement Souffre et lui posa une question. La ledite chose était sa soeur, Zira. Souffre l'examina de plus près et remarqua qu'elle était très jolie avec ses écailles noir. Elle était plus petite que lui et n'avait pas encore ses ailes, lui non plus d'ailleur. Son fin museau était plus petit que celui du dragon vert. Elle ne semblait pas très sur d'elle et petillait de joie. Elle était pleine de vie et amusait beaucoup le petit réptile vert.

- Si tu es gentille, je serais gentil. Répondit-il simplement.

Le petit dragonneau marcha jusqu'à sa mère et s'installa entre ses pattes pour dormir. Il avait dû faire un effort surdragon (x3) pour casser sa coquille et il était épuisé. Ses pattes lui faisaient mal et il ne voulait que dormir pour récuperer ses forces pour bien grandir.

(Zira, à toi ^^)

Crime, grande et terrifiante dragonne, regardait ses petits s'amuser entre eux. Ils ne se ressemblaient pas vraiment. L'un noir comme la nuit et l'autre vert comme les feuilles d'un grand chêne. De magnifiques boules d'écailles qui avaient déjà leur propre caractère. L'un était une femelle et l'autre un mâle et n'avaient pas vraiment la même tailles. Souffre, le mâle verdatre, était plus musclé que sa soeur et avait une queue plus grande. C'était un peu normal : il était un mâle et les mâles n'étaient souvent plus grands que les femelles. La preuve avec Crime. Elle était gracieuse et fine alors que Grymm était plus en muscle quand charme. Finalement, sa vie n'était pas si injuste qu'elle le prétendait. Elle avait connu l'amour et avait eu des dragonneaux magnifiques. Dommage que son dernier petit, Eirok, n'était pas encore né et près d'eux. Elle aurait voulu toucher une nouvelle fois cet oeuf gris-pierre et de le voir naitre en même temps que Souffre et que Zira. Elle l'aurait couvert de tendresse, comme les autres.

Soudain, Souffre vint se coucher près d'elle suivie de près par Zira. Elle lui annonça que son frère, Eirok, aimait son nom et qu'il l'adorait. Cela mit de bonne humeur la dragonne blanche et elle rouvra le passa à son fils encore dans l'oeuf.

" Je t'aime Eirok. Bonne nuit. "

Alors qu'Eirok commençait à rêver de son avenir, il entendit "Je t'aime Eirok, bonne nuit." Dans son rêve il était adulte et dépassait sa mère en taille. Il semblait être fait que de pierre. Il était fièrement assis sur un pic d'une montagne et regardait en contre bas une magnifique vallée dorée sous les rayons de soleil couchant. En entendant cela, son lui adulte tourna la tête et regarda derrière lui. Là il vit sa mère, qui le regardait avec affection. Il n'éprouva rien devant cet amour maternel, mais il se sentait reconnaissant envers la dragonne blanche. Grâce à elle il était là et il vivait une grande aventure : celle de la vie. Il regarda à côté de lui. Il avait enroulé sa queue autour d'un humain, envers qui il éprouva une forte affection et une envie de le protéger. L'homme leva la tête vers lui mais le rêve d'Eirok s'effaça avant qu'il est eu le temps de voir le visage de son dragonnier. Cela l'agaça vivement et il s'agita un instant avant de se rendormir. Là il rêva qu'il volait avec son dragonnier sur le dos, c'était la nuit. Ils traquaient. C'était magnifique. Il rêva aussi qu'il flottait dans un monde sans air mais avec des courants. Il n'avait pas son dragonnier cette fois mais il se sentait bien. Il ne savait pas ce que c'était. Ça ressemblait à l'intérieur de son œuf mais en plus grand. Inconsciemment il avait piqué le souvenir de sa mère lorsque celle-ci était allée dans l'eau pour la première fois. Eirok enchaîna les rêves pendant deux jours et se réveilla à ce moment là. Il vit une face humaine entourée de cheveux flamboyant. Il voyait souvent cette personne, il ne savait pas qui c'était mais il la voyait souvent. À côté il y avait quelqu'un d'autre. Ce quelqu'un posa une main sur la coquille de granite. Le dragonneau ne réagit pas et envoya une image de massacre (qu'il avait piqué à sa mère là encore). L'homme cria et recula. Finalement la pièce dans laquelle l'œuf gris se vida à nouveau et le dragonneau gris se rendormit.